Un projet nécessite une ligne directrice. Le sujet a été mûrement réfléchis, nous avions hésité entre plusieurs sujets avec lesquelles nous avions une certaines affinités. Cependant, choisir un sujet n'a pas été chose aisée. Kim et moi avions chacun des idées de sujet pour ce projet. Choisir un sujet, facile (a priori) ! Tout commence après le cours où l'on nous demande de commencer à réfléchir sur un sujet, pour le projet. Nous nous concertons avec Kim afin que chacun ait une réflexion de son côté sur le sujet à choisir. Les jours passent, nous débattons dès que nous le pouvons mais nous nous sommes toujours pas décidé et nous prenons du retard.
Plus les jours passent et plus les idées et les questionnement sur le sujet émergent. Nous poussions notre réflexion toujours plus loin en raison de la liberté de choisir dont nous disposions quant à notre sujet. L'idée était d'avoir un sujet d'actualité captivant dont nous pourrions l'exploiter linguistiquement.
Résumons la situation : Quel sujet représente pour nous un intérêt commun et dont nous nous sommes sentirons concernés ? L'objectif était aussi d'avoir un sujet qui ferait écho dans les deux langues et voire même au niveau internationale. Rapidement quelques sujets se sont démarqués des autres et nous avons commencer à trancher. Nous avons fait un parallèle avec l'actualité française. Le thème de notre sujet s'est porté sur la politique, nous en avons retenu deux. Dans un contexte de crise politique aussi bien en France qu'en Turquie et même à l'échelle internationale était porté sur la monnaie et en particulier sur le "dollar". Mais après avoir demandé l'avis de notre professeur, ce terme était trop générique. De ce fait, ce sujet avait des répercussions, notamment sur les ménages. C'est bon, en quelques minutes, nous avions convenu du sujet dont nous avions tant réfléchis dessus. C'est le syntagme "classe moyenne", "orta sınıf" en turque .